C’est sans aucun doute son voyage diplomatique le plus périlleux depuis son arrivée à l’Elysée en 2017, un exercice d’équilibriste scruté par une société française déjà très facturée par ce conflit. 24 heures dans le chaudron israélo-palestinien, entre Tel Aviv, Jérusalem et Ramallah, avec une double ambition : exprimer sa solidarité envers Israël et les victimes françaises après les massacres du 7 octobre mais aussi prouver que la France a encore quelque chose à dire dans la région… Alors comment juger cette visite d’Emmanuel Macron ? La France peut-elle être utile et peser dans la résolution de ce conflit ? A-t-elle retrouvé sa voix ou définitivement perdu son influence ?